Articles

À la une de l'Antivol

Publication de L’Antivol-papier n° 17, janvier-mars 2025

Nous avons le plaisir de vous annoncer que le nouveau numéro de L’Antivol-papier, correspondant au premier trimestre 2025, vient de paraître. Il est toujours gratuit et contient des articles qui, nous l’espérons, vous intéresseront autant que les précédents.

« Ne laissons pas Bolloré et ses idées prendre le pouvoir sur nos librairies ! »

Cette tribune, cosignée par plus de 80 librairies indépendantes, s’inscrit dans le cadre de la campagne d’actions « Désarmer l’Empire Bolloré » lancée en juillet 2024. Aucun État, aucun milliardaire ne doivent être mis en position de fabriquer, contrôler les imaginaires…

La mort de Gavroche

Devant les chefs d’œuvre littéraires, on est souvent embarrassé : ne les connaît-on que trop ou les a-t-on vraiment lus ? Tel est le cas, dans Les Misérables, de cette mort de Gavroche sur les barricades parisiennes de 1832. D’un mot, d’une phrase ou d’un bout à l’autre, la scène continue d’éblouir qui la découvre ou qui la lit encore une fois.

Les Brèves du Satirique, mars 2025

L’un des membres de L’Antivol a l’esprit caustique. Sous le nom du « Satirique », un pseudo obligé pour raisons professionnelles, il nous livre ci-dessous sa 27ème série de « brèves », drôles et incisives. L’accès aux précédentes livraisons est, comme d’habitude, en fin d’article.

Manuscrits de 1844, sur l’homme et la propriété

Nous sommes nombreux à le dire, mais il faut inlassablement le répéter : il est bon de lire ou relire Marx, et tout spécialement ces « Manuscrits économico-philosophiques de 1844 » rédigés à Paris alors qu’il n’a que 26 ans. Un extrait…

La Parure

On affirme ici et là que sa peinture des mœurs bourgeoises du XIXe siècle nous est un miroir tendu à travers le temps pour peu que nous sachions encore le reconnaître. Cette nouvelle, qui nous parle de la division des classes, des objets du paraître, de l’endettement, en est une brillante illustration

Six questions à « Pas d’enfant à la rue »

Il y a quelques semaines, L’Antivol a proposé au collectif « Pas d’enfant à la rue » un entretien sur le combat mené depuis maintenant plus de dix-huit mois. Deux de ses membres ont bien voulu prendre de leur temps pour nous répondre.

La Révolution d’abord et toujours !

Ce tract, signé en août 1925 par les surréalistes, le groupe d’obédience communiste Clarté et les membres des revues Correspondance et Philosophies, constitue la première prise de position politique des surréalistes sur la scène internationale. S’il fait suite à l’engagement de la France dans la guerre du Rif, conflit colonial au Maroc, il remet plus généralement en cause l’hégémonie de l’Occident et le sentiment patriote. (Exposition « Surréalisme », Centre Pompidou, 4 septembre 2024 – 13 janvier 2025)