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À la une de l'Antivol
Pour sortir de l’impasse, osons les utopies !
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« Dites-lui pourquoi maman a honte de vous ! »
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Il y a six ans, la révolte des Gilets Jaunes faisait irruption dans la société française. Depuis, la situation dépeinte dans cette lettre au Président a empiré. On trouvera, en fin de billet, d’autres accès à la mémoire – vivante – de cette révolteSur « Les trente inglorieuses. Scènes politiques » de Jacques Rancière
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Par Ariane Randeau
La publication, en 1992, du livre La fin de l’histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama a marqué le philosophe Jacques Rancière. À la suite de la chute du Mur et de la dislocation de l’Union Soviétique, face à l’expansion d’un capitalisme toujours plus global et financiarisé, Fukuyama prononçait la fin des idéologies, le triomphe de la démocratie libérale et l’avènement d’un consensus mondial. Trente ans plus tard, l’ouvrage de Rancière, publié à La fabrique éditions, regroupe des textes allant de 1991 à 2021 qui, ensemble, proposent une analyse des processus et des effets de cette machine libérale prétendument « consensuelle ». Il y met en avant combien ce « consensus n’aboutit pas, ne produit pas ce qu’il promettait : la paix ». Tout au contraire…
Gilets Jaunes : les raisons de la colère
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Par Aphil Goude
Quoi qu’on en pense et quoi qu’il advienne, le combat des Gilets Jaunes est appelé à faire date dans l’Histoire. Si l’on peut gloser à l’infini sur sa portée ou ses limites, ses vertus ou ses vices, il est surtout indipensable de revenir à la parole de ceux qui y ont participé, y participent ou y participeront encore. C’est ainsi qu’on pourra lire ou relire le texte ci-dessous, d’Aphil Goude. Il date de mi-décembre 2018, soit un mois après l’Acte I du mouvement, et il a le mérite d’offrir une bonne synthèse des raisons de la colère. En plus, son auteur ou ses auteurs, par le pseudonyme choisi, ne manquaient pas d’humour. Doublement, qu’on songe à la sonorité anglophone ou aux initiales évocatrices des prénom et nom…
